Le Chateau de Morsains

Le Chateau de Morsains
Le Chateau de Morsains

dimanche 18 mars 2018

Famille DE GEPS


Recherches en cours toujours pas de preuve de lien direct encore trouvée sur l'ascendance de Paul de Geps , je vous livre ici en vrac les infos collectées , à suivre...

recherche du 18/03/2018

Référencé à la BNF un acte de mariage :

fol. 10 Intitulé Paul de Geps, chevalier, seigneur de Flavigny, et Madeleine de Sainction : contrat de mariage. Intitulé Notice n° 4708 Date de l'acte : 18 mars 1661







mercredi 19 octobre 2016

Aux origines De Champagne, Mathefelon , histoire de la seigneurie de Clairvaux

Chers lecteurs  , je viens de trouver sur Gallica un texte relatant de la seigneurie et l'Abbaye de Clairvaux auxquelles l' origine de la famille De Champagne semble liée . Malheureusement je suis totalement profane en latin , si certains d'entre vous étaient compétents il serait intéressant de traduire les premiers paragraphes dont j'ai l'impression qu'il traite des ancêtres d'Hubert Sire D'ARNAY plus lointain Ancêtres connu de cette généalogie :


XXIV. — CHATEAU ET SEIGNEURIE DE CLERVAUX,


EN POITOU,


ET L'ABBAYE DE CLAIRVAUX, EN CHAMPAGNE.


[Suite. — Voir les numéros de Mai-Juin et Juillet-Août 1865.).


COPIE D'UN MANUSCRIT FAIT PAR LUCAS, EN 1660.


(Orig. en ma possession.)


Histoire du Chateau de Morsains (MORCINS)



LE CHATEAU DE MORCINS
(CANTON DE MONTMIRAIL)

Le 1er décembre dernier, le Courrier de Sézanne, à l'occa-
sion de la mort de M. Numance Devaux, appelait l'attention
de ses lecteurs sur le château de Morcins qu'il habitait et où,
quoiqu'isolé volontaire, il se faisait de rares connaissances,
qu'il avait conservées, dans sa verte vieillesse.

Le château de Morcins, d'après l'article du Courrier, aurait
appartenu à la famille des comtes de Champagne et Brie,
notamment à Thibaut dit le Chansonnier, et aurait été visité
par Jeanne d'Arc, la sainte et patriotique pucelle d'Orléans.

lundi 17 février 2014

Du nouveau Famille LEGOUX et SAINT-BELIN

Suite à la mise en ligne des "notes généalogiques du Baron de l'Horme" par les archives départementales de la Haute-Marne nous avons accès à une ascendance complète pour la famille Saint BELIN (lien vers la page Saint BELIN) et une avancée de plusieurs générations sur la famille LEGOUX (lien vers la page LEGOUX)

vendredi 4 janvier 2013

La Seigneurie de Lourps

LONGUEVILLE

Cette commune, toute récente, était un ancien écart et fief de la paroisse
de Lourps. Depuis le transfert du siège de la commune à Longueville, c'est
 Lourps qui est devenu l'écart. Le château et l'église de Lourps étaient, avec
le presbytère, des édifices isolés sur la colline, loin de tout village.

Lourps [Lu-pi). Cette ancienne paroisse relevait de l'archevêché de
Sens. Ses premiers seigneurs prirent le nom de la terre. Le cartulaire de
Notre-Dame du Val de Provins mentionne qu'en 1218, les dîmes de cette
paroisse appartenaient à Simon et Thibault de Lourps qui les cédèrent au
chapitre cle l'église du Val. Les descendants de cette famille autochtone du-
rent disparaître au cours de la guerre de Cent Ans.

En 1479, la terre de Lourps était la propriété de Jean Legoux à qui
Louis XI, dont il était le secrétaire, l'avait sans cloute donnée. Ce Legoux
était garde de la prévôté de Provins il mourut en 1474, après avoir été
administrateur de la ville de Sens. Une charte de Louis XI donnée à Senlis,
en juin 1474, et contresignée Jean Legoux porte l'institution à Sens d'un
maire et d'échevins et la nomination de ce dernier à la première de ces char-
ges. La seigneurie de Lourps resta clans sa descendance jusqu'en 1610
Claude Legoux, l'héritière, porta cette terre en dot à Robert 11 de Cham-
pagne, seigneur de Lonvoisin, Vendeuil, Neuvy, Léchelle, Seveilles-lès-
Provins, etc. Ce dernier acquit en 1634 le fief des Murs, sur la paroisse de
Lourps, par échange, d'Edme Delas, écuyer. Delas était propriétaire des
Murs du chef de sa femme, Edmée de Régnier, veuve de Jean Alleaume de
Courtavenel.

Robert II de Champagne, seigneur aussi cle Longueville, laissa deux
fils: Charles et Jacques de Champagne qui lui succédèrent comme seigneurs
cle Lourps, des Murs et de Longueville. L'aîné, Charles ler de Champagne,
chevalier, fut baron de Lourps, Longueville, Montigny, etc.. Le plus jeune,
Jacques, fut seigneur de La Borde, des Murs, et aussi de Longueville et de  
Lourps. Il laissa un fils et une fille dont la descendance reste inconnue.
L'aîné, Charles Ier, laissa aussi un fils, Charles II, qui continua la postérité.
L'aîné des fils de celui-ci, Bénigne-Antoine de Champagne, se lit en 1700
chevalier de Malte, et son frère, Jean, recueillit la succession paternelle. 11
dut vendre ses biens, car, en 1704, Longueville avait pour seigneur Jacques
Salle, marié à Françoise de Vimpelles et Lourps passait clans le même temps
à Coeur-de-Roi. Sa veuve cédait cette terre, en 1759, à Jean Rousseau, entre-
preneur de ponts-et-chaussées. A celui-ci succéda Serpette qui vendit la pro-
priété, en 1763, à Pierre-Charles-Camille, marquis de Fera de Saint-Phalle,
seigneur de la Haute-Maison de Saint-Loup, de Carouge, etc., mousquetaire
du roi. Ce dernier avait épousé en 1757 Henriette-Françoise-Madeleine de
Bombelles, fille de Jacques-François brigadier des armées du roi et dont un
descendant jouera un rôle historique comme troisième mari de Marie-Louise
et seigneur de Grisy-sur-Seine.

Les terres de Longueville et de Lourps ne changèrent plus de noms de
seigneurs jusqu'à la Révolution. Les deux petit-fils de Jean de Champagne,
L. M. de Champagne, à Sens, ancien officier et Antoine-Louis, prêtre de
la cathédrale de Troyes, montèrent sur l'échafaud en 1794: le premier avait
59 ans, le second 42. Une sœur de Jean, Marie de Champagne, était devenue
la femme de François de Morru, seigneur de Saint-Martin-du-Boschet.

Le château de Lourps dont il n'y a plus qu'une aile resta aux de Saint-
Phalle après la Révolution. Un des descendants l'habitait encore vers 1850.
Il existe à Longueville un joli château modem-style, à M. Ponchel.
L'Eglise de Lourps, petite et gentille, remonte au XIIIe siècle. Elle était
fermée, lors de notre passage, ainsi que la petite église toute moderne de
Longueville dont la paroisse relève, pour le culte, de Sainte-Colombe-lès-
Provins.

Source Gallica